Les impacts sur la santé et les flux migratoires
L’élévation de la fréquence et de l’intensité des événements extrêmes (les périodes de chaleur et de froid, les sécheresses et les inondations) devrait entraîner des effets sanitaires négatifs directs (l’augmentation de la morbidité et de la mortalité) et indirects (la sous-production alimentaire locale et la sous-alimentation en résultant).
La multiplicité des inondations, des ouragans et des tempêtes pourrait aussi amplifier les risques de morbidité et de mortalité pour de nombreuses populations sous plusieurs effets : la destruction des logements, la contamination de l’eau et des nourritures, la perte de récoltes ou encore par les risques d’épidémies (Parry et al, 2004
).
Dans des études basées sur les scénarios d’émission SRES, Van Lieshout et al.(2004)
soulignent un élargissement de certaines zones potentielles de transmission des maladies à vecteur (paludisme, malaria, dengue, fièvre jaune) particulièrement en Afrique et en Asie, par l’effet des changements climatiques.
Dans les pays souffrant de faibles capacités de prévention et d’adaptation, les populations à risque en 2080 pourraient varier entre 90 millions (scénario A1F1) et 200 millions (scénario B2).
La multiplicité des inondations, des ouragans et des tempêtes pourrait aussi amplifier les risques de morbidité et de mortalité pour de nombreuses populations sous plusieurs effets : la destruction des logements, la contamination de l’eau et des nourritures, la perte de récoltes ou encore par les risques d’épidémies (Parry et al, 2004
![[2004], “ Effects of climate change on global food production under SRES emissions and socio-economic scenarios ”, Global Environmental Change, Volume 14, Issue 1, p. 53-67.](../medias/navigation/cours/reference.png)
Dans des études basées sur les scénarios d’émission SRES, Van Lieshout et al.(2004)
![[2004], “ Climate change and malaria : analysis of the SRES climate and socio-economic scenarios ”, Global Environmental Change, Volume 14, Issue 1, p. 87-99.](../medias/navigation/cours/reference.png)
Dans les pays souffrant de faibles capacités de prévention et d’adaptation, les populations à risque en 2080 pourraient varier entre 90 millions (scénario A1F1) et 200 millions (scénario B2).