Des « hot spots » vides
Par ailleurs les espaces qui sont mentionnés sont presque vides et donc en terme d’enjeux ce ne sont pas des territoires à vulnérabilité maximale, sauf si celle-ci n’est définie qu’à partir de critères « naturels », altitude, niveau d’eau, etc. Si l’on définit l’environnement avec les sociétés humaines et leurs activités, les régions les plus vulnérables sont bien différentes. Des « points chauds », « hot spots du global change » en quelque sorte, sont ainsi pointés par la presse sur la carte du monde. Ce sont :

Alors qu’en un an, nous n’avons compté qu’une seule mention du Pakistan et du Bengladesh.