L’insertion de personnes en difficulté représente un domaine dont la problématique demande de le traiter en tant que tel. Ces initiatives présentent des spécificités parce qu’elles trouvent leur origine dans la volonté de favoriser l’insertion, que ce soit dans l’accès à l’emploi, ou à des services.
Avec les structures d’insertion par l’activité économique (SIAE), il s’agit avant tout de fournir des opportunités d’insertion pour les personnes en difficulté salariées des SIAE. Les activités ne sont définies que dans un second temps et parce qu’elles sont appropriées à l’objectif premier. Ces initiatives se positionnent sur des activités économiques multiples aussi bien dans l’industrie, le bâtiment que les services, pour mener à bien leur objectif d’insertion professionnelle. C’est pourquoi elles doivent être rangées dans un domaine particulier : les services d’insertion par l’économique. Les SIAE peuvent avoir des agréments différenciés de l’Etat : associations intermédiaires, entreprises d’insertion, entreprises d’intérim d’insertion… leurs différents réseaux se retrouvent notamment au sein du Conseil national de l’insertion par l’activité économique .
L’insertion peut aussi avoir trait à d’autres dimensions comme l’accès à la justice, au transport, à la santé, à la culture… c’est-à-dire à différents services individuels mis en évidence par la communauté. La spécificité des services d’insertion sociale est, comme pour les structures d’insertion par l’économique, de trouver leur fondement dans la volonté de délivrer des services à des populations en difficulté. C’est ainsi que des initiatives cherchent à retisser des liens sociaux pour des personnes isolées du fait de leur handicap, de leur absence de ressources, de leur maladie… ce sont les services d’insertion sociale. On peut citer comme exemple les épiceries sociales et solidaires . Même si elles ne se reconnaissent pas spécifiquement comme des structures d’insertion, on trouve aussi certaines associations de chômeurs qui, en plus la promotion des droits de leurs membres, développent des initiatives d’économie solidaires.
Avec les structures d’insertion par l’activité économique (SIAE), il s’agit avant tout de fournir des opportunités d’insertion pour les personnes en difficulté salariées des SIAE. Les activités ne sont définies que dans un second temps et parce qu’elles sont appropriées à l’objectif premier. Ces initiatives se positionnent sur des activités économiques multiples aussi bien dans l’industrie, le bâtiment que les services, pour mener à bien leur objectif d’insertion professionnelle. C’est pourquoi elles doivent être rangées dans un domaine particulier : les services d’insertion par l’économique. Les SIAE peuvent avoir des agréments différenciés de l’Etat : associations intermédiaires, entreprises d’insertion, entreprises d’intérim d’insertion… leurs différents réseaux se retrouvent notamment au sein du Conseil national de l’insertion par l’activité économique .
L’insertion peut aussi avoir trait à d’autres dimensions comme l’accès à la justice, au transport, à la santé, à la culture… c’est-à-dire à différents services individuels mis en évidence par la communauté. La spécificité des services d’insertion sociale est, comme pour les structures d’insertion par l’économique, de trouver leur fondement dans la volonté de délivrer des services à des populations en difficulté. C’est ainsi que des initiatives cherchent à retisser des liens sociaux pour des personnes isolées du fait de leur handicap, de leur absence de ressources, de leur maladie… ce sont les services d’insertion sociale. On peut citer comme exemple les épiceries sociales et solidaires . Même si elles ne se reconnaissent pas spécifiquement comme des structures d’insertion, on trouve aussi certaines associations de chômeurs qui, en plus la promotion des droits de leurs membres, développent des initiatives d’économie solidaires.